« (…) Nous beaucoup aimé ce disque (…) qui nous souffle sa version d’un jazz très actuel en compagnie de sept musiciens de talent (…) cette formation où mélodies, contrepoints et trouvailles rythmiques ne font que servir le bon goût, avec nuances et beauté du son en prime »
Laurent Bataille Batteur magazine juin 2010
« (…) quelques pointes de Dexter Gordon et Joe Lovano, vous avez un son moelleux, un phrasé souple, un développement mélodique.Ce saxophoniste ténor respire le plaisir de jouer, et son plaisir nous gagne (… )les compositions de Nicaise sont très plaisantes, reposant sur de belles mélodies. Voici donc un groupe homogène, bien d’aujourd’hui et du côté de la beauté, qui possède déjà son propre son, et qui rend optimiste sur l’avenir du jazz. »
Serge Baudot Jazz Hot septembre 2010
« (… ) Le charme opère très vite dès « Printemps à New-York » (…) toutes les compositions s’enchaînent avec fluidité et se retiennent (…) la musique s’écoule constamment nuancée et contrastée (…) c’est l’élègance qui domine ces compositions(…) aussi, n’hésitez pas : si on vous demande ce qu’est le jazz actuel (…) aller voir du côté de ce collectif PJU et de ce Nouvel Air »
Sophie Chambon Les Dernières nouvelles du jazz mai 2010
« (…) La musique entièrement composée par Nicaise, se situe clairement dans la lignée de celles des Kurt Rosenminkel, David Binney et consorts »
Eric Quenot Jazz Magazine mai 2010
« C’est à la suite d’un voyage à New-York au printemps 2009 que le saxophoniste Robin Nicaise a enregistré cet album, le quatrième sous son nom. Il en a rapporté une provision d’images visuelles et sonores qui nourrissent son propos au point qu’on croirait que ce disque a été enregistré là-bas. Il colle totalement à l’esthétique actuelle façon « Son frais, nouveau talent » [1] avec Fender Rhodes, guitare, une base rythmique solide mais sans lourdeur et des thèmes déclinés comme des chansons où le sax ténor remplacerait la voix.
Nouvel air propose neuf titres neufs puisque tous composés par Robin Nicaise, saxophoniste au jeu fort sympathique avec une belle sonorité. Ces compositions sont suffisamment diversifiées pour permettre à cette formation de disposer d’espaces de jeu propices à laisse s’exprimer chacun selon son inspiration. On notera la présence d’une excellente rythmique composée du batteur Fred Pasqua (jeu vif et tonique) et du contrebassiste très prisé (à juste titre !) Yoni Zenik. À remarquer aussi les touches de couleur apportées avec parcimonie par la harpe et la flûte des invités ainsi que la présence d’un second ténor, David Prez (qui fréquente lui aussi les milieux du jazz new-yorkais ) et se joint avec intelligence à un bel hommage à Michael Brecker.
Un disque très réussi, de belle facture, respectueux des codes d’un genre actuel auquel il se réfère avec bonheur. »
T. G. Culture Jazz mars 2010